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28 octobre 2012 7 28 /10 /octobre /2012 13:36

 

Saint Jude "Thaddée", apôtre (1er s.)

Jude est aussi appelé Thaddée pour le distinguer de Judas. Avec Simon, il appartenait sans doute à ces zélotes qui refusaient l'occupation romaine, mais le message du Christ fut pour lui la découverte de l'universalité de l'amour de Dieu. Saint Jean nous rapporte la question de saint Jude lors de la dernière Cène: «Pourquoi te découvres-tu à nous et non pas au monde?» (Jean 14.22). Jésus y répondra indirectement: «Si quelqu'un m'aime, il gardera mon commandement». 
Dans la liste des apôtres, ils sont côte à côte et la tradition les fait mourir ensemble en Perse.

« Moi, Jude, serviteur de Jésus Christ et frère de Jacques, je m'adresse à vous, les appelés, bien-aimés de Dieu le Père et réservés pour Jésus Christ :

que la miséricorde, la paix et l'amour vous soient accordés en abondance.» Lettre de saint Jude » Chapitre 1,1-2

 

patron des causes désespérées

 

Prière à saint Jude

Ô GLORIEUX apôtre saint Jude, fidèle serviteur et ami de Jésus, l'Église vous honore et vous invoque universellement comme patron des cas désespérés. Priez pour moi si malheureux. Je vous en supplie du plus profond de mon coeur, servez-vous en ma faveur du grand privilège que vous avez d'apporter un secours visible et rapide à ceux qui vous invoquent.

Venez à mon secours et soulagez ma misère. Obtenez-moi l'aide et la grâce du Bon Dieu dans toutes mes difficultés et en particulier ......(demandes particulières). Faites en sorte que je sois du nombre des élus et obtienne le salut éternel.

Je vous promets, ô saint Jude, de me souvenir toujours de la grande faveur que vous m'accorderez. Toujours je vous honorerai comme mon patron et mon protecteur. En signe de reconnaissance, je ferai tout en mon pouvoir pour développer votre dévotion et vous faire connaître comme le patron des causes désespérées.

Amen.

Sainte Marie mere de Dieu prie pour nous pecheur maintenant et à l'heure de notre mort .amen

Notre Dame d'Hospitalité prie pour nous et reste avec nous . Amen

image001Praedicatho homélies à temps et à contretemps d'un prêtre catholique

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23 août 2012 4 23 /08 /août /2012 01:40

 

Sainte Rose de Lima, 

vierge (1586-1617)

Rose naquit à Lima, au Pérou, le 20 avril 1586, et reçut au Baptême le nom d’Isabelle. Sa mère, penchée sur son berceau, ayant cru apercevoir une rose épanouie sur son visage, s’écria : « Désormais, tu seras ma "Rose"! », changement de nom qui fut confirmé par la Sainte Vierge dans une vision qu’eut plus tard la jeune fille.

La vie de cette petite sainte a été une suite ininterrompue de souffrances volontairement acceptées et héroïquement supportées. Dès son bas âge, Rose comprit que la vraie sainteté consiste avant tout à accomplir ses devoirs d’état. Une source de difficultés lui vint de concilier l’obéissance à ses parents avec la fidélité aux appels intérieurs dont le Ciel la favorisait. Elle s’ingénia à trouver le moyen d’obéir à la fois à Dieu et à sa mère. Décidée à ne chercher à plaire à personne d'autre qu’à Dieu, elle portait néanmoins une couronne de fleurs imposée par sa mère; mais elle sut y cacher à l’intérieur une aiguille qui faisait de cet ornement un instrument de supplice.

La vraie sainteté ne réside pas dans la pénitence du corps, mais dans celle du cœur, qui est impossible sans l’humilité et l’obéissance. Toutes les austérités de Rose étaient soumises à l’obéissance; et elle était toujours prête à tout abandonner. On s’étonnera que ses directeurs aient pu approuver dans une si frêle enfant d’aussi cruelles macérations; mais il faut savoir que chaque fois que des confesseurs voulurent s’y opposer, ils en furent empêchés par une lumière intérieure.

Toute la personne de Rose, défigurée par la pénitence, attirait l’attention du public et la faisait vénérer comme une sainte. Désolée, elle eut recours à Dieu, afin que ses jeûnes n’altérassent pas les traits de son visage. Chose admirable! Elle reprit son embonpoint et ses vives couleurs; ses yeux se ranimèrent. Aussi arriva-t-il qu’après avoir jeûné tout un Carême au pain et à l’eau, elle rencontra des jeunes gens qui se moquèrent d’elle en disant : « Voyez cette religieuse si célèbre par sa pénitence! Elle revient sans doute d’un festin. C’est édifiant, vraiment, en ce saint temps! » Rose en remercia Dieu.

La charité de Rose pour le salut des âmes était en proportion de son amour pour Jésus-Christ. Elle ressentait une poignante douleur en pensant aux âmes qui se perdent après avoir été si chèrement achetées. Elle pleurait sur le sort des Chinois, des Turcs et des nombreuses sectes hérétiques qui désolaient l’Europe.

Rose mourut le 24 août 1617, à l’âge de trente et un ans.

 

PRIÈRE A SAINTE ROSE DE LIMA 

SAINTE ROSE,    

D'abord, nous te félicitons d'avoir tant aimé Dieu 

quand tu étais sur la terre.  

Tu as enduré de grandes souffrances; et tu disais que 

le souvenir des douleurs de Jésus te rendait les tiennes 

supportables.  

Tu as aimé beaucoup les autres, surtout les malades, et 

tu les visitais souvent, par charité.  

Maintenant que tu vis dans la paix avec Dieu et tous 

ses amis déjà parvenus dans la vie éternelle, nous te 

présentons nos prières, surtout pour ceux qui souffrent 

et pour les pécheurs.  

Jadis, les sœurs de Lazare avaient envoyé des 

messagers dire à Jésus "Celui que Tu aimes est 

malade». Aujourd'hui, redis à Dieu les mêmes paroles 

pour nous, et obtiens-nous ce que nous te demandons 

avec confiance.  

Que nous sachions aussi - comme toi - offrir à Dieu 

nos soucis et nos peines, en pensant à Jésus qui disait 

dans Son Agonie: "Père, éloigne de moi ce calice de 

souffrances, mais que Ta volonté soit faite, et non la 

mienne».  

Enfin, apprends-nous à aimer les autres à cause de 

Jésus Christ.  

SAINTE ROSE, PROTÈGE-NOUS. AMEN

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22 juillet 2012 7 22 /07 /juillet /2012 15:22

 

                  

 

SAINTE MARIE-MADELEINE 22 Juillet

Pénitente

(Ier siècle)

 

Marie Madeleine, soeur de Marthe et de Lazare, était d'une famille distinguée de Béthanie. Après la mort de ses parents, Marie avait reçu en héritage le château de Magdala, en Galilée, d'où lui vint le surnom de Madeleine, et elle y vivait dans le luxe et les plaisirs au point qu'elle devint le scandale de toute la Galilée, et qu'on ne la connut bientôt que sous le nom de la Pécheresse. En punition de ses débordements, elle fut possédée du démon jusqu'au jour où le Sauveur, lui remettant ses péchés, la délivra de la domination de Satan.

 

Dieu avait fait naître en ce coeur coupable le désir de voir Jésus; ce désir devait être son salut, car le Sauveur voulait donner en Madeleine un exemple frappant de Sa miséricorde infinie en même temps que de la plus parfaite pénitence. C'est elle qui, ayant un jour suivi le Seigneur chez Simon le Pharisien, versa sur les pieds de Jésus un vase de parfum précieux, les arrosa de ses larmes et les essuya avec ses cheveux, et qui entendit ensuite cette parole:

"Beaucoup de péchés lui sont pardonnés, parce qu'elle a beaucoup aimé."

 

Nous la rencontrons, depuis lors, très souvent dans l'Évangile; elle contemple Jésus et L'écoute, dans la maison de Béthanie, pendant que sa soeur Marthe s'occupe seule du service de la maison: "Marie, dit le Sauveur, a choisi la meilleure part." Une autre fois, dans les derniers jours de sa vie, Jésus voit Madeleine répandre un parfum délicieux sur cette tête divine qui bientôt sera couronnée d'épines. Elle accompagne le Sauveur au sommet du Calvaire, assiste à Sa mort et à Sa sépulture, et bientôt reçoit l'une des premières visites du Christ ressuscité: "Marie!" S'écrie le Sauveur. Et Marie, reconnaissant Jésus, Lui répond dans une effusion d'amour: "O mon Maître!"

 

Peu après, les Juifs endurcis, fatigués de ses exhortations et de celles de Marthe et de Lazare, les exposèrent sur la mer par une tempête, dans une pauvre barque sans rames ni voiles. La nacelle voguait à la garde de Dieu, et vint aborder, après quelques jours, au rivage de Marseille. Les pieux disciples du Christ firent là de nombreuses conquêtes.

 

Quant à Madeleine, elle s'enfonça dans les montagnes sauvages et solitaires et fut transportée par les anges dans une grotte appelée depuis la Sainte-Baume, où elle mena une vie plus angélique qu'humaine, favorisée des grâces les plus merveilleuses, ne vivant que de la Sainte Communion, soupirant et versant des larmes de pénitence et d'amour.

 

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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 00:14

Saint Benoît-Joseph Labre

SAINT BENOÎT-JOSEPH LABRE ( fêter le 16 Avril)
Pèlerin, mendiant
(1748-1783)

Benoît-Joseph Labre naquit à Amettes, diocèse d'Arras, et fut l'aîné d'une famille de quinze enfants. Âgé de douze ans, il fut reçu chez son oncle paternel, curé d'Érin, pour faire ses études en vue du sacerdoce.

Après la mort de son oncle, Benoît-Joseph passa chez son oncle maternel, vicaire de Conteville, où il ne fit que grandir dans la mortification et la prière. Son attrait était toujours vers le Saint-Sacrement devant lequel il s'abîmait des heures entières en contemplation.

Il y avait longtemps que Benoît-Joseph aspirait à une vie plus parfaite: "Être prêtre est bien beau, disait-il; mais j'ai peur de me perdre en sauvant les autres."

Il finit par vaincre les résistances de ses parents et entre chez les Chartreux, espérant y trouver sa voie définitive. Il se trompait, car la Providence permet qu'il soit bientôt renvoyé par ses supérieurs, comme n'ayant pas la vocation de cet Ordre. La pensée de la Trappe, qu'il avait eue d'abord, lui revient; on ne l'y accepte pas.

Ballotté de nouveau entre la Chartreuse et la Trappe, il est forcé de s'adresser enfin à Sept-Fonts, où ses scrupules, ses peines d'esprit et une maladie sérieuse donnent bientôt lieu à son renvoi.

Toute sa réponse à tant d'épreuves était: "Que la Volonté de Dieu soit faite!" C'est alors que Dieu lui inspire cette vocation de pèlerin-mendiant qui devait le mener droit, par les chemins les plus ardus de la pénitence, à une éminente sainteté.

Il n'aura plus de relations suivies avec personne, vivra en solitaire au milieu du monde, ira toujours à pied, cherchera tous les lieux consacrés par la dévotion. Il sera revêtu d'un habit pauvre et déchiré, qu'il ne changera point.

Un chapelet à la main, un autre au cou, un crucifix sur la poitrine, sur les épaules un petit sac contenant tout son avoir, c'est-à-dire son Nouveau Testament, l'Imitation de Jésus-Christ et le Bréviaire: tel on verra Benoît-Joseph dans ses continuels pèlerinages.

La pluie, le froid, la neige, la chaleur, rien ne l'arrête; il couche le pus souvent en plein air, il vit de charité, au jour le jour, sans rien réserver pour le lendemain; il ne prend que la plus misérable et la plus indispensable nourriture, et se fait lui-même pourvoyeur des pauvres. Souvent il est le jouet des enfants et de la populace; il est regardé comme un insensé; il souffre tout avec patience et amour.

Rome, Lorette, Assise et une multitude d'autres lieux saints sont l'objet de sa dévotion.

Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.

 

 

Prières à Saint Benoît Labre

 

Saint Benoît Labre,

qui passa en ce monde

comme un pauvre pèlerin,

brûlez mon coeur d'amour

pour Jésus pauvre et Crucifié.

Amen.

                                                      


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3 novembre 2011 4 03 /11 /novembre /2011 10:18

 

 

                                                                                

 

Les "Fioretti" de saint Martin de Porrès, Apôtre de la charité - Éditions du Cerf, Paris 2006.

"Appelé couramment 'Martin de la charité', patron de la justice sociale, père des malades et des pauvres, saint Martin de Porrès est un intercesseur hors pair pour tous ceux qui sont dans le besoin."

Mémoire de saint Martin de Porrès, religieux dominicain. Né hors mariage à Lima, au Pérou, d’un chevalier espagnol et d’une mulâtresse, il dut traverser les difficultés provenant de sa condition de fils illégitime et de sang mêlé, mais dès son enfance il apprit l’art des médicaments, qu’il exerça ensuite largement, devenu religieux, en faveur des pauvres, menant une vie dure et humble de pénitence et de prière, irradiée de charité, jusqu’à sa mort en 1639.

Martyrologe romain

Frère Martin, lui dit son prieur, vous ne faîtes rien de bon – C’est malheureusement vrai, révérendissime Père. Malgré tout, permettez-moi de vous offrir tout de même une sélection de nos meilleurs fruits et spécialités locales. – Volontiers! Somme toute, vous n’êtes point si mauvais, reconnut le prieur.

 

Prière à Saint-Martin de Porrès 
Ô Bienheureux Martin de Porrès, sur la terre, vous ne viviez que pour Dieu et vos semblables. Vous avez aimé les créatures de Dieu et vous aviez même des dispositions particulières et surnaturelles sur les animaux. Maintenant, assis près du Trône de la Bonté et de la Miséricorde, vous pouvez mieux disposer de Ses Trésors.
Regardez donc, Bienheureux Saint-Martin de Porrès, ceux qui vont vers vous dans la certitude qu'ils seront écoutés.
Aidez-nous à vous suivre sur ce chemin de compassion pour que nous connaissions un jour la gloire du Ciel où vous louez Dieu en compagnie des anges et des saints
pour l'éternité.
 Amen. 

 

Invocation à Saint-Martin de Porrès 
Ô Saint-Martin de Porrès, mon frère, accueille-moi ! 
Dans mes peines et tribulations, console-moi ! 

Dans mes dangers et adversités, viens à mon secours ! 
Dans mes faiblesses et tentations, protège-moi ! 
Dans mes affections et maladies, viens à mon secours ! 

Donne-moi la santé, si elle me convient, 
et libère-moi de tout mal de l'âme ou du corps ! 
Amen

Ô mon frère bienveillant et compatissant, entends-moi ! 
Dans les angoisses de ma pauvreté, réconforte-moi ! 
Dans les afflictions de mon infortune, sauve-moi ! 
Dans mes accablements et découragements, 

couvre-moi de ta protection ! 
Maintenant et toujours avec ton exemple, apprends-moi à prendre chaque jour ma croix, 
et fais-moi atteindre la Grâce Divine et la gloire du Ciel ! 
Amen

 


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13 juin 2011 1 13 /06 /juin /2011 05:36

Frère mineur, docteur de l'Église (+ 1231)

Né à Lisbonne, ce contemporain de saint François d'Assise s'appelait en réalité Fernando. De famille

 noble aux traditions militaires, il entra tout jeune chez les Chanoines Réguliers de Saint Augustin à Coïmbra où il fut ordonné prêtre. En 1220, quand les restes des premiers martyrs franciscains furent

 ramenés du Maroc au Portugal, il entra chez les Frères Mineurs et prit le prénom d'Antoine. Il désirait lui aussi aller au Maroc afin d'y mourir martyr. Tombé malade pendant le voyage, il dut rentrer en Europe. 
En 1221, il est à Assise au chapitre de l'Ordre et ses frères découvrent alors ses talents de prédicateur et de théologien. Ayant remplacé "au pied levé" un prédicateur empêché, il étonne ses frères qui, désormais, l'envoient prêcher plutôt que de balayer. Avec la permission de saint François, il enseigne à Bologne, Toulouse, Montpellier et Limoges. A Brive-la-Gaillarde, on conserve même le souvenir des grottes où il se retira quelque temps dans la prière solitaire. C'est aussi dans cette ville qu'il retrouva miraculeusement un manuscrit dérobé, y gagnant du même coup sa spécialité posthume pour lui faire retrouver les objets perdus. En 1229, il est élu provincial de l'Italie du Nord. 
La fin de sa vie est dominée par la prédication où il excelle. Il se trouve à Padoue pour prêcher le Carême en 1231. C'est là qu'il meurt d'épuisement à 36 ans, dans cette ville qui le vénère et qui lui donne son deuxième nom, saint Antoine de Padoue. Il est "Docteur de l'Église", mais la piété populaire préfère en lui l'intercesseur efficace.
Il a été nommé saint patron du Portugal en 1934 par le pape Pie XI.
Site officiel de saint Antoine de Padoue
Les Franciscains s’installent aussi à Limoges... très modestement. Saint Antoine de Padoue vient et réside quelque temps à Limoges. Il prêche en Limousin et va fonder le couvent des frères mineurs à Brive. (Les ordres mendiants et militaires - diocèse de Limoges)
Antoine dit de Padoue (1195-1231) Natif du Portugal, il fut un très grand prédicateur franciscain, canonisé dès 1232 mais déclaré docteur de l'Église seulement en 1946. Son culte, qui se développe largement à partir du XVIe siècle, se répand plus tardivement dans le Poitou, à la fin du XIXe, sous l'impulsion notamment des prédicateurs capucins: la célébration solennelle à Saint-Porchaire de Poitiers, en 1893, en est une date clé. Il est généralement représenté tenant un livre sur lequel repose l'Enfant Jésus. Vêtu de la bure, les reins ceints d'une corde - de là le nom des Cordeliers autrefois donné aux franciscains - il est couvert du manteau brun à capuchon. (diocèse de Poitiers- quelques saints)
La catéchèse de l'audience générale du 10 février 2010 a été consacrée à "l'un des saints les plus populaires de l'Église catholique". Né à Lisbonne en 1195, Antoine fut d'abord chanoine augustin avant de se faire franciscain pour partir au Maroc comme missionnaire. La maladie l'ayant fait rentrer en Italie, il développa dans ce pays une intense activité apostolique. Mort à Padoue en 1231, il fut canonisé l'année suivante par Grégoire IX. 
Benoît XVI a expliqué combien saint Antoine "a fortement contribué au développement de la spiritualité franciscaine grâce à sa grande intelligence, à son sens de l'équilibre, à son zèle apostolique et à sa ferveur mystique... Il fut l'un des premiers grands théologiens des Frères Mineurs pour ne pas dire le premier". Saint Antoine a composé un cycle de sermons pour le dimanche, un autre consacré aux saints, proposant ainsi un parcours spirituel tellement riche que Pie XII le proclama en 1946 Docteur de l'Église, en lui attribuant le titre de Docteur évangélique car ses semons reprenaient toute la fraîcheur et la beauté de l'Évangile". Dit de Padoue ou de Lisbonne, Antoine définit la prière "comme une relation d'amitié où l'homme dialogue avec le Seigneur", l'articulant en quatre dispositions indispensables: ouvrir avec confiance son cœur à Dieu, lui parler avec affection, lui confier nos attentes, le louer et le remercier. Cet enseignement résume la théologie franciscaine, "la centralité de l'amour divin qui s'ouvre à la sphère affective et à la volonté cordiale, qui est aussi source d'un connaissance spirituelle qui dépasse toutes les connaissances".
Le Docteur évangélique, a ajouté Benoît XVI, connaissait bien les défauts de la nature humaine, et "la tendance à tomber dans le péché. Il exhortait sans cesse à combattre l'inclination à l'avidité, à l'orgueil et à l'impureté... Au début du XIII siècle, dans un contexte de renaissance des villes et du commerce, le nombre des personnes insensibles aux pauvres s'accroissait. Ainsi invitait-il les fidèles à rechercher l'amitié des pauvres et la véritable richesse, celle du cœur". Cet enseignement "est tout aussi valable aujourd'hui, face à la crise économique, aux inégalités qui appauvrissent tant de personnes et accroissent la pauvreté. Puis le Pape a souligné un autre des aspects saillants de la théologie franciscaine, le christocentrisme, qui "invite à réfléchir aux mystères de l'humanité du Seigneur, principalement la Nativité et la Crucifixion. "La vue du Crucifié inspirait à Antoine une immense gratitude envers Dieu, mais aussi de l'estime pour la dignité de la personne humaine, grâce à laquelle croyant comme incroyant peut trouver un sens enrichissant à sa vie". Le Saint-Père a rappelé "l'importance du crucifix pour notre culture et pour l'humanisme découlant de la foi chrétienne... C'est parce que Dieu nous considère importants que nous devons être dignes des souffrances" du Christ.
Le Pape a conclu en sollicitant l'intercession de saint Antoine en faveur de l'Église, et en particulier des prédicateurs. "Suivant son exemple, puissent-ils unir ensemble une saine doctrine, une piété sincère et rigueur de discours. En cette Année sacerdotale, prions afin que prêtres et diacres accomplissent leur ministère avec conscience, annonçant en l'actualisation la Parole de Dieu auprès des fidèles, surtout dans les homélies liturgiques". (source: VIS 100210 540) 

Mémoire de saint Antoine, prêtre et docteur de l’Église. Né à Lisbonne, il était chanoine régulier lorsqu’il entra dans l’Ordre des Mineurs, récemment fondé. Il pensait aller chez les peuples d’Afrique pour propager la foi, mais c’est en Italie et dans le midi de la France qu’il exerça avec beaucoup de fruit le ministère de la prédication, en attirant un grand nombre à la vraie doctrine. Il écrivit des sermons pénétrés de doctrine et de douceur et, sur l’ordre de saint François, enseigna à ses frères la théologie à Padoue, où il mourut en 1231

 

Prière à Saint Antoine de Padoue


Patron de ceux qui se confient à vous, Grand SAINT ANTOINE de Padoue, je viens vous demander non l'abondance et non pas aussi la pauvreté, craignant que l'une ne m'entraîne à la vanité et l'autre à l'impatience, au chagrin et au désespoir. Mais je vous demande une honnête suffisance des choses nécessaires à l'entretien de ma vie et de ma famille.

Je suis composé de corps et d'âme ; le corps a besoin de nourriture et de vêtements ; la grâce nécessaire à l'âme pour vivre d'esprit et servir DIEU qui Est Esprit.

Tous deux sont exposés à beaucoup d'infirmités. SAINT ANTOINE de Padoue, Père des pauvres, assistez-moi, délivrez-moi de tout ce qui peut me nuire de l'un et de l'autre. Amen

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29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 13:54

vendredi 29 avril 2011
Ste Catherine de Sienne, Docteur de l'Église et co-patronne de l'Europe (1347-1380) - Fête en Europe


Sainte Catherine de Sienne  
Docteur de l'Église et co-patronne de l'Europe
(1347-1380)

            Catherine, l'une des saintes les plus merveilleuses qui aient paru sur la terre, naquit à Sienne, de parents vertueux, mais qui pourtant, chose incroyable, se firent longtemps ses persécuteurs et entravèrent, autant qu'il leur fut possible, sa vocation religieuse.

        Dès l'âge de cinq ans, elle ne montait les escaliers de la maison paternelle qu'à genoux, récitant l'Ave Maria à chaque degré. Vers cette époque, elle eut une apparition de Notre-Seigneur, qui lui révéla tous les secrets de la vie parfaite.

        Un jour, l'admirable enfant, se prosternant dans sa chambre, pria la très Sainte Vierge de lui donner son divin Fils pour Époux, et dès lors elle ne songea qu'à la vie religieuse, qui passionnait noblement son âme. Comme ses parents voulaient la marier, Dieu leur fit comprendre par différents signes extraordinaires que leur fille devait rester vierge ; malgré tout, ils persistèrent à la retenir dans le monde. Catherine ne se découragea pas ; elle se fit comme une cellule au fond de son cœur, où elle trouvait toujours son Bien-Aimé.

        C'est alors que commença pour elle une vie de telles austérités, que les Vies des Saints nous offrent peu de pareils exemples : disciplines, châssis de fer, cilice, privation de nourriture et de sommeil, elle n'ignora rien de tous ces martyres volontaires ; elle en vint à ne dormir qu'une demi-heure en deux nuits, ce fut la mortification qui lui coûta le plus. C'était une lutte continuelle entre la mère et la fille, la tendresse de l'une voulant éviter à l'autre ce martyre de chaque jour, la passion de la souffrance chez l'une rendant inutile l'humaine compassion de l'autre.

        De guerre lasse, il fallut enfin laisser partir au couvent cette fille si chérie et si longtemps maltraitée : Catherine entra chez les religieuses de Saint-Dominique. Dès lors sa vie devint de plus en plus étonnante. Elle eut quelques tentations pénibles pour son âme angélique ; le Sauveur, pour la récompenser de la victoire, lui apparut couvert des ignominies de sa Passion :   " Où étiez-vous donc, Seigneur, pendant ce terrible combat ?   - Ma fille, j'étais dans ton cœur, et je me réjouissais de ta fidélité. "

        Dans une de ses apparitions, le Sauveur ôta le cœur de la poitrine de sa servante et mit le Sien à sa place. Une autre fois, elle reçut les stigmates du divin Crucifié. Souvent, au moment de la communion, l'Hostie s'échappait des mains du prêtre pour voler vers la bouche de Catherine.

        Sa vie entière fut un miracle. Dieu permit qu'elle exerçât une immense influence sur son époque, et qu'elle contribuât pour beaucoup à la cessation du grand schisme d'Occident.

        Elle mourut à l'âge de trente-trois ans.



Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.
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29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 01:37

Louis Marie Grignion de Montfort est né le 30 janvier 1673 à Montfort-sur-Meu. Il a pour parents Jean Baptiste Grignion et Jeanne Robert, demoiselle des Chesnais (en Ille-et-Vilaine), mariés le 10 février 1671 dans l'ancienne église de Toussaints à Rennes. Louis Marie Grignion de Montfort est baptisé le 1er février 1673 dans l'église Saint-Jean de Montfort. Le 16 juillet 1675, ses parents achètent la propriété du Bois-Marquer en Iffendic et s'y installent. En 1685, Louis Marie Grignion de Montfort vient d'atteindre sa douzième année. Ses parents décident de l'envoyer au collège Saint-Thomas-Becket de Rennes et le placent en pension chez son oncle, l'abbé Alain Robert de la Vizeule, prêtre de la paroisse Saint-Sauveur. Le directeur spirituel du jeune étudiant est le Père Descartes, neveu du philosophe. Mais celui qui exerce le plus d'influence sur notre collégien est le Père Gilbert, saint religieux, qui terminera sa vie dans les missions où il évangélisera les "nègres" de la Martinique et des Caraibes. Aux yeux de ses camarades, Louis Marie Grignion de Montfort est un élève très pieux.

 

Bretagne : missionnaire Louis Marie Grignion de Montfort

Il reste au collège de Rennes jusqu'en 1693 puis se rend au séminaire de Saint-Sulpice à Paris où il séjourne de 1695 à 1700. Louis Marie Grignion de Montfort est promu à l'ordre de prêtrise, le samedi des "Quatre Temps de la Pentecôte" de l'année 1700 (5 juin 1700), par messire Jean Hervieu Bazan de Flamenville, évêque de Perpignan. C'est à l'âge de 27 ans et à l'autel actuel de la Sainte-Vierge, en l'église Saint-Sulpice, qu'il célèbre sa première messe, le 5 juin 1700.

De 1700 à 1703, Louis Marie Grignion de Montfort est à la recherche d'un champ d'apostolat. Son premier ministère est à Nantes, dans la communauté saint Clément où il reste jusqu'en octobre 1701.  Il se rend ensuite à Poitiers comme aumônier à l'Hôpital Général. Il fait la connaissance de  Marie Louise Trichet (béatifiée en 1993). Avec elle, il fonde les "Sœurs de la Sagesse", le 2 février 1703. A Pâques de la même année, il se rend à Paris à l'Hôpital de la Salpêtrière jadis fondé par saint Vincent de Paul. Il va loger en solitaire dans la rue du Pot de Fer, logis très pauvre où il reste près d'un an. Il met à profit cette solitude pour méditer et prier. C'est probablement à cette époque qu'il écrit "L'amour de la Sagesse éternelle". 

L'archevêque de Paris, informé de sa sainteté, lui confie la mission délicate de réformer les ermites du Mont-Valérien. Mais à Poitiers, les pauvres ne l'ont pas oublié et le rappellent. Revenu dans cette ville au début du carême 1706, on lui signifie plus tard son congé. Mais sa vocation est ailleurs et il le sent de plus en plus : c'est de prêcher et instruire le long des routes pour relever la Maison du Seigneur qui tombe en ruines. Reçu en audience le 6 juin 1706 par le Pape Clément XI, il revient en France avec le titre de « Missionnaire apostolique » : " Vous avez, Monsieur, un assez grand champ en France pour exercer votre zèle. N'allez point ailleurs. Et travaillez toujours avec une parfaite soumission aux évêques dans les diocèses où vous serez appelé.". Quittant donc l'hôpital, Louis Marie Grignion de Montfort se met à prêcher des missions dans la ville et aux environs. Dieu lui envoie un auxiliaire dans la personne d'un jeune homme qui s'attache à lui et qui, sous le nom de Frère Mathurin, fera le catéchisme pendant cinquante ans dans les missions avec lui et ses successeurs. 

Les dix dernière années de sa vie, Louis Marie Grignion de Montfort sillonne l'Ouest de la France, de paroisses en paroisses pour prêcher 72 missions. Il met ses missions sous la protection de "sa bonne Mère", la Très Sainte Vierge, et du grand guerrier céleste, l'archange Saint-Michel. En compagnie du Frère Mathurin, il se dirige d'abord vers Notre-Dame des Ardilliers, près de Saumur. Sur sa route, il s'arrête à l'abbaye de Fontevrault qui abrite sa soeur Sylvie, religieuse converse. Puis continuant son voyage, le Père de Montfort atteint Angers. Les deux voyageurs débarquent au Mont-Saint-Michel, le 28 septembre 1706. Du Mont-Saint-Michel, le missionnaire se rend à Rennes, où chaque matin, accompagné du Frère Mathurin, il célèbre la messe tantôt à Notre-Dame de Bonne-Nouvelle, tantôt à Notre-Dame de la Paix, mais le plus souvent à l'hôpital. Il se dirige ensuite vers Dinan, où il rencontre son frère Joseph-Pierre, religieux dominicain, admis au noviciat en 1695 et ordonné prêtre en 1698. Il donne ensuite une mission à Saint-Suliac, puis à Bécherel où il est amené à porter la parole de Dieu dans la maison de la Porte-Berthault. Vers la fin de l'année 1706, il y prêche "la retraite dit Grandet".

Bretagne : Louis Marie Grignion de Montfort

Louis Marie Grignion de Montfort s'associe ensuite de 1707 à 1708 à un groupe de missionnaires dirigé par Dom Jean Leuduger (1649-1722), chanoine scolastique de la cathédrale de Saint-Brieuc et fondateur de la Congrégation des Filles du Saint-Esprit. Louis Marie Grignion de Montfort ne tarde pas à se révéler comme une des meilleures recrues de son armée de missionnaires. Pendant sept à huit mois, Louis Marie Grignion de Montfort prêche dans les paroisses de Baulon, Le Verger, Merdrignac, Montfort (au diocèse de Saint-Malo), à la Chèze, Plumieux, Saint-Brieuc, Moncontour (dans le diocèse de Saint-Brieuc). De 1708 à 1710, il exerce sa mission en compagnie du Frère Mathurin et du Frère Jean, dans le pays nantais et ses environs (Nantes, Valet, La Chevrolière, Vertou, Saint-Fiacre en décembre 1708, Campbon le 13 février 1709, Crossac, Ponchâteau d'avril à mai 1709, Bouguenais, Besné, la Chapelle-des-Marais, Missillac, Herbignac, Camoël, Assérac,  ....). Son action puissante sur les âmes, ses initiatives audacieuses étonnent ses confrères et font éclater sa sainteté aux yeux de la population.  

Note 1 : Louis Marie Grignion de Montfort apportait une attention particulière à la bonne tenue des édifices religieux et des cimetières. Le cimetière de Saint-Donation (à Nantes) possédait une antique chapelle dédiée à saint Etienne. Il y plaça une statue de Notre-Dame des Coeurs, qui resta longtemps en vénération, et fonda la Confrérie de Marie, reine des Coeurs. Dans cette même chapelle, le Père Grignion de Montfort bénit, le 21 juin 1710, une cloche qu'il nomma Anne-Marie, du nom de la marraine, Anne Rogier de Crévy, marquise de la Tullaye, et du parrain, qui n'était autre que lui-même. Au registre des signatures figurent les noms de Louis-Marie de Montfort, de Michel de la Gasselinais, le curé, d'Anne Rogier de Crévy, la marraine, puis des membres de la société de Notre-Dame des Coeurs : Mme veuve Dauvaise et sa fille Elisabeth, Prudence Fouchard, Marguerite Charrier, Mme Jean Faverolles. 

Note 2 : Entre 1709 et 1711, Louis Marie Grignion de Montfort prend en charge la construction du Calvaire de Pontchâteau ("C'est  la croix qui a racheté le monde, c'est la croix qui sauve les âmes".), annoncée durant sa mission à Pontchâteau au mois de mai 1709. D'après la tradition, le terrain d'abord choisi, se trouvait près de la chapelle de Sainte-Reine, sur la paroisse de Rochefort-en-Crévy. Le calvaire est édifié en août 1709. Mais par ordre du roi (décision influencée par Guischard de la Chauvelière, sénéchal du duc de Coislin), le Calvaire est démoli. En effet, dès le 7 septembre 1710, M. de Torcy notifie, de Marly à M. de Châteaurenault, l'ordre du roi. C'est M. de Lannion, lieutenant général de Nantes qui reçoit la pénible mission de présider à la démolition du Calvaire, mais, pris de remord, il se dérobe. L'exécution de la consigne est alors confiée à M. d'Espinose, commandant de la milice de Pontchâteau. L'oeuvre de reconstruction est reprise en 1747. En 1793, les "patriotes" essayent d'incendier le Calvaire après l'avoir saccagé. La seconde restauration du Calvaire est entreprise au début du XIXème siècle, en 1821, par M. Gouray, curé de Pontchâteau. 

En 1711, le Père de Montfort est appelé par l'évêque de la Rochelle, Mgr Etienne de Champflour (ancien élève, comme Grignion de Montfort, de Saint-Sulpice, à Paris). Vers le début du carême 1711, Louis Marie Grignion de Montfort quitte le diocèse de Nantes pour se rendre à Garnache, au bord du marais vendéen (à noter que l'armée vendéenne se lèvera un siècle plus tard pour défendre sa foi, l'image du Sacré-Coeur sur la poitrine et le chapelet à la main). Sur la paroisse de Garnache, se trouvait une chapelle en ruines, dédiée autrefois à saint Léonard. Le missionnaire entreprend de la restaurer et la dote d'une statue de la Sainte Vierge qu'il appelle "Notre-Dame de la Victoire". Le 11 mai, il quitte, en compagnie du Frère Mathurin, Luçon pour gagner La Rochelle où l'évêque lui confie l'évangélisation de la ville. A la fin de l'année 1711 et au début de 1712, Louis Marie Grignion de Montfort prêche sans doute quelques missions dans les campagnes. C'est alors que Mgr de Lescure lui demande d'aller évangéliser l'île d'Yeu. La mission terminée, il se rend, vers Pâques, à Nantes, désireux d'encourager les oeuvres qu'il avait établies dans cette ville. En effet selon la promesse faite l'année précédente, Grignion de Montfort est à La Garnache le 5 mai 1712 pour bénir la chapelle Notre-Dame de la Victoire. Dès le soir de l'Ascension, Montfort ouvre une mission à Sallertaine, paroisse voisine, où il restaure une chapelle sous le vocable de Notre-Dame de Bon-Secours. D'autre part sur le terrain de la paroisse, un plateau avait autrefois servi de cimetière et dans ce lieu, cher encore à la piété des fidèles, Montfort souhaite reproduire quoique moins grandiose, le calvaire de Pontchâteau"L'emplacement était bien choisi. Dominant le bourg et terminé par un rocher abrupt, le monticule avait déjà de l'allure. Il suffirait de quelques terrassements pour l'aménager. Au bas, le Père creusa le Saint-Sépulcre. Au-dessus, on construisit la chapelle de Saint-Michel. Et au sommet, bien en vue, on planta la croix, dont les trois branches portaient un grand chapelet enchaîné à l'entour du Christ" (dit le P. Besnard). Mais, le gouverneur de La Rochelle, M. de Chamilly, malgré sa bienveillance à l'égard de Louis Marie Grignion de Montfort, se laisse circonvenir et ordonne la destruction du "prétendu fort" qui était en fait le Calvaire. Le  11 juin 1712, ignorant le repos, Louis Marie Grignion de Montfort prend la route de Saint-Christophe-du-Ligneron. En juillet 1712, le Père de Montfort est de retour à La Rochelle. Une personne pieuse lui fait don d'une pauvre demeure dans le quartier de Saint-Eloi : ce sera son ermitage. A plusieurs reprises il s'y retire dans l'intervalle de ses travaux apostoliques. Il y passe vraisemblablement une partie de l'automne de 1712, occupé à composer le célèbre "Traité de la Vraie Dévotion à la Sainte Vierge". Dès le début de l'hiver, les missions l'appellent : les paroisses de Thairé (en octobre 1712), Saint-Vivien, Esnandes, Courçon (en janvier 1713), Beugnon, Bressuire, Argenton-Château, Séguinière (en mai 1713) l'entendent tour à tour. 

Au début de 1713, Louis Marie Grignion de Montfort rédige la " Règle des missionnaires de la Compagnie de Marie", un engagement par vœu de pauvreté de chasteté et d'obéissance. Louis Marie Grignion de Montfort part ensuite, en juillet 1713, pour Paris afin de rencontrer les supérieurs de la communauté du Saint-Esprit. En effet au milieu de ses labeurs dans le diocèse de La Rochelle, l'homme de Dieu ne perd pas de vue le projet (dont il rêve et qui doit être l'oeuvre principale de sa vie) de fonder une société de missionnaires. Plusieurs élèves du séminaire du Saint-Esprit (situé jadis rue Neuve Sainte-Geneviève, appelé, aujourd'hui, rue Tournefort) suivront le Père Montfort et feront partie de la Compagnie de Marie (Jacques Le Vallois, MM. Vetel, Thomas, Hédan, Besnard, ...). A Paris, Grignion de Montfort reste missionnaire : son temps il l'emploie à l'apostolat, et dans ses visites, dans ses rencontres, il ne cesse de prêcher la Sainte Vierge, et surtout la dévotion au Rosaire. Fin août 1713, le Père Montfort s'éloigne de Paris où il avait passé deux mois. L'avenir de sa société de missionnaires semblait assuré. 

A son retour de Paris, l'homme de Dieu traverse Poitiers où une autre famille spirituelle l'attend, les Filles de la Sagesse avec Marie Louise de Jésus et Catherine Brunet qu'il avait connues sept ans auparavant, à quelques jours près. Au mois d'août 1713, il atteint la paroisse de Mauzé, sur les confins du diocèse de La Rochelle. 

Note 3 : Dès 1711, nous affirment ses biographes (dont l'historien Pauvert), le Père Louis Marie Grignion de Montfort publie un premier recueil (in-18 de 120 pages) : il s'agit d'un volume comprenant cinq fascicules différents qui peut se séparer : le premier traite des vertus chrétiennes, le deuxième et le troisième renferment des cantiques de mission, le quatrième des cantiques pour le Sacré-Coeur. Il met au point aussi une "Méthode pour convertir les protestants". C'est aussi à La  Rochelle que le Père Montfort fait imprimer, chez Louis Bourdin, un ouvrage d'une vingtaine de pages : "Dispositions pour bien mourir". Ce dernier opuscule comprend quatre parties : - les dispositions, - les oraisons pour l'Extrême-Onction, - les sept paroles de Jésus en croix, - le testament spirituel.

Dans les premiers mois de 1714, Louis Marie Grignion de Montfort parcourt, en conquérant spirituel, les paroisses de l'île d'Oléron, de Saint-Christophe, Vérines, Saint-Médard, Le Gué-d'Alléré, Saint-Sauveur, Nuaillé, La Jarrie, Croix-Chapeau, Marennes,"répondant partout la semence de la divine parole qu'il arrosait de ses sueurs et qu'ils cultivait par ses exemples, et qui croissait toujours plus à l'ombre de la croix" (dit le P. Besnard). Au mois de mai 1714, en route pour un voyage à Rouen, le bon Père Grignion de Montfort s'arrête à Roussay (non loin de de La Séguinière), à Rennes, à Avranches, à Saint-Lô, à Caen (en septembre 1714). Le long voyage en Normandie occupe les quatre mois de l'été de 1714. 

A son retour, Louis Maris Grignion de Montfort passe à Rennes, à Aigrefeuille et à Nantes. Ce n'est guère avant novembre 1714 que le Père Grignion de Montfort regagne La Rochelle. Au début de l'hiver, il reprend ses courses apostoliques et évangélise successivement Loiré, Le Breuil-Magné, l'île d'Aix, Saint-Laurent-de-la-Prè et Fouras. Après avoir prêché la mission de Taugon-la-Ronde, en mars 1715, et installé les Filles de la Sagesse à La Rochelle, Louis Marie Grignion de Montfort remonte dans le bocage vendéen, au mois d'avril 1715. A part quelques échappées à Nantes et à La Rochelle pour consolider ses oeuvres diverses, c'est là qu'il va travailler jusqu'à la fin de sa vie. Le 19 avril 1715, il ouvre une mission à Saint-Amand-sur-Sèvre. Il rédige aussi la "Règle des Filles de la Sagesse" au mois de juillet 1715 (approuvées par Mgr de Champflour, le 1er août 1715). Il est à Fontenay, le dimanche 25 août 1715. Un autre ermitage du Père Louis Marie Grignion de Montfort est la grotte de Mervent où il séjourne à trois époques assez rapprochées, en juin, en septembre, et en octobre 1715. Entre temps, il se met à prêcher les missions de Mervent, de Fontenay-le-Comte et de Vouvant. C'est à Saint-Pompain vraisemblablement que le serviteur de Dieu apprend la mort de son père, Jean Baptiste Grignion, décédé le 21 janvier 1716, à Couascavre, près de l'Abbaye-en-Breteil, à l'âge de 69 ans. Une mission se déroule au mois de février 1716 à Villiers-en-Plaine. 

Note 4 : le missionnaire apostolique, envoyé par Clément XI à travers la France, s'emploie, en vrai fils de l'Evangile, à prêcher les "grandes vérités" : son programme de sermons, précieusement conservé parmi ses manuscrits, en  fournit la preuve. Cependant, il se plait, dans ses instructions de piété, à propager la dévotion du Rosaire. Il emporte de Bretagne la coutume d'expliquer l'enseignement religieux à l'aide de tableaux. Il en possède quinze, sous forme de bannières ou d'étendards, qui représente les mystères du rosaire. Une des oeuvres les plus fructueuses de Grignion de Montfort à La Rochelle, est l'établissement des "écoles charitables", car "tout ce qui était faible attirait les tendresses de son coeur : les pauvres, les malades, les enfants" : la principale occupation de M. de Grignion est d'établir au cours de ses missions des écoles chrétiennes pour les garçons et pour les filles (une des règles fondamentales est la gratuité absolue). Parmi les âmes religieuses qui lui sont chères, la première place revient à l'ancienne petite préférée de la famille Grignion, Louise-Guyonne, devenue Soeur Catherine de Saint-Bernard, chez les Bénédictines de Rambervillers.

Il prêche sa dernière retraite à Saint-Laurent-sur-Sèvre (Vendée) le 5 avril 1716. C'est là qu'il rend l'âme le 28 avril 1716 (suite à une pleurésie aiguë), à l'âge de 43 ans, et qu'il est enterré le 29 avril 1716 ("On l'inhuma, dit le P. Besnard, dans la chapelle de la Sainte Vierge, à main gauche, proche de la balustrade"). Sur son tombeau sont gravées deux épitaphes : l'une brève, en français, envoyée par M. Barrin, vicaire général de Nantes, l'autre assez longue en latin est attribuée à M. Jean Baptiste Blain ou au marquis de Magnannes, des amis intimes de Louis Marie Grignion de Montfort. L'épitaphe  en français, envoyé par M. Barrin, est ainsi conçue :"Ici repose le corps de M. Louis Marie Grignion de Montfort, excellent missionnaire, dont la vie a été innocente, dont la pénitence a été admirable, dont les discours remplis de la grâce du Saint-Esprit ont converti un nombre infini d'hérétiques et de pêcheurs, dont le zèle pour l'honneur de la Très Sainte Vierge et l'établissement du Saint Rosaire a persévéré jusqu'au dernier jour de sa vie. Il est mort en faisant la mission dans cette paroisse, le 28 avril 1716. Pour gage de sa tendresse, Messire Barrin, chantre, chanoine dignitaire et grand vicaire de la cathédrale de Nantes". Voici l'épitaphe latine, gravée sur la table de marbre noir qui recouvre le tombeau du saint : "- Quid cernis, viator? Lumen obscurum, Virum caritatis igne consumptum, - Omnibus omnia factum, Ludovicum Mariam Grignion de Montfort. Si vitam petis, nulla integrior, - Si poenitentiam, nulla austerior, Si zelum, nullus ardentior, Si pietatem in Mariam, Nullus Bernado similior. - Sacerdos Christi, Christum moribus expressit. Verbis ubique docuit, Indefessus nonnist in feretro recubuit. - Pauperum pater, Orphanorum patronus, Peccatorum reconciliator, Mors gloriosa vitae similis, Ut vixerat devixit. Ad coelum Deo maturus evolavit. - Anno Domini MDCCXVI obiit, XLIII aetatis suae" ("- Que regardes-tu, passant ? Un flambeau éteint, Un homme que le feu de la charité a consumé, Qui s'est fait tout à tous, Louis Marie Grignion de Montfort. Si tu t'informes de sa vie, aucune n'a été plus pure, -  De sa pénitence, aucune plus austère, De son zèle, aucun plus ardent, De sa dévotion envers Marie, Personne n'a mieux ressemblé à saint Bernard. - Prêtre du Christ, sa vie a retracé celle du Christ, Sa parole a prêché partout le Christ, Infatigable, il ne s'est reposé que dans le cercueil. - Il a été le père des pauvres, Le défenseur de l'orphelin, Le réconciliateur des pêcheurs, Sa glorieuse mort a ressemblé à sa vie, Comme il avait vécu, il cessa de vivre. Mûr pour Dieu il s'est envolé pour le ciel. - Il mourut en l'an du Seigneur 1716, A l'âge de 43 ans").   

L'église béatifie Louis Marie Grignion de Montfort le 22 janvier 1888 et Pie XII le déclare saint en 1947. A noter que le procès de canonisation s'est terminé, le 11 janvier 1942.

Saint Montfort est reconnu aujourd'hui comme fondateur de trois congrégations religieuses : les Pères Missionnaires Montfortains appelée à l'origine "Compagnie de Marie", les Filles de la Sagesse et les Frères Saint-Gabriel.

Note 5 : la Compagnie de Marie : Louis Marie Grignion de Montfort savait profiter des circonstances providentielles pour inviter les âmes à le suivre. Il décida le Frère Mathurin, son premier disciple, à l'aider dans ses missions. Il pourra inscrire dans son testament quatre autres noms de Frères : Nicolas, Philippe, Louis et Gabriel, qui formaient le premier noyau de sa famille religieuse. Trois autres coadjuteurs qui le suivaient, Mathurin, Jacques et Jean, n'étaient liés par aucun voeu. Au jour de sa mort, le serviteur de Dieu avait auprès de lui, comme missionnaires, deux disciples qui ne faisaient que commencer leur formation religieuse : le premier est Adrien Vatel, du diocèse de Coutances, et le deuxième est René Mulot, frère du curé-prieur de Saint-Pompain, né à Fontenay-le-Comte, et appartenant au diocèse de La Rochelle. 

Note 6 : les Filles de la Sagesse : La famille Trichet, famille de huit enfants profondément chrétienne, était établie à Poitiers. Le chef de famille était procureur au siège présidial de la ville. L'aîné des garçons, Alexis, sera le fils spirituel de Grignion de Montfort. A l'époque où l'abbé Grignion commença son ministère à l'hôpital de Poitiers, Marie Louise Trichet avait 17 ans. La pieuse fille aspirait à la vie religieuse. Louis Marie Grignion de Montfort, son confesseur, fit confectionner à Mlle Trichet, un habit très simple et modeste, de couleur gris cendré. Il le bénit, et, assisté d'un prêtre, il en revêtit Mlle Trichet en disant : "Tenez, ma fille, prenez cet habit : il vous gardera et vous sera d'un grand secours contre toutes sortes de tentations. Vous portez le nom de Marie-Louise , ajoutez-y celui de Jésus que vous choisissez aujourd'hui comme votre unique partage. C'est ainsi que vous vous appellerez désormais". Cette vêture eut lieu le 2 février 1703 et Marie LouiseTrichet avait dix-neuf ans. C'étaient les prémices de sa congrégation que le fondateur voulait offrir à Dieu par Marie, en souvenir de l'offrande de la Sagesse éternelle, faite par la Sainte Vierge au Temple de Jérusalem. Avec Marie Louise de Jésus, Catherine Brunet faisait partie, à l'hôpital de Poitiers, de cette association de piété composée d'infirmes, et que Grignion de Montfort avait nommé "la Sagesse". Catherine Brunet ne recevra l'habit religieux que bien des années après, des mains de M. Dubois, aumônier, délégué à cet effet par le fondateur, et prendra le nom de Soeur de la Conception. C'est finalement Marie Louise de Jésus que Dieu choisit pour être à la tête de cette communauté naissante. Marie Louise de Jésus meure le 28 avril 1759, au lieu, au mois, à l'heure où Grignion de Montfort avait expiré. Les filles de la Sagesse se multiplièrent jusqu'à devenir une importante congrégation de l'Eglise du Christ.

Note 7 : La Communauté du Saint-Esprit  : Les frères montfortains de Saint-Gabriel, que l'on appelle aussi plus simplement les Frères de Saint-Gabriel, se rattachent par leurs origines à Louis-Marie Grignion de Montfort. Le siège de son gouvernement est à Saint-Laurent-sur-Sèvre (Vendée) où Louis Marie Grignion de Montfort mourut et fut inhumé. Le septième supérieur est le père Gabriel Deshayes (1767-1841). Il entre dans la compagnie de Marie à 53 ans. Au XIXème siècle, la congrégation des frères va se développer sous l’impulsion du Père Gabriel Deshayes qui ouvre des écoles pour les sourds et les aveugles. Les pères se multiplient et plus encore les frères, qu'il décide de diviser en deux groupes. Les uns restent avec les pères et sont leurs auxiliaires pour des tâches temporelles ou pastorales. Les autres, plus nombreux, sont destinés à l'enseignement. La maison principale que leur donne Gabriel Deshayes à Saint-Laurent-sur-Sèvre est appelée Saint-Gabriel en son honneur, et l'on prend vite l'habitude d'appeler ses habitants "Frères de Saint-Gabriel". Ce nom, qui remplace le premier, "Frères du Saint-Esprit", deviendra officiel quand les frères seront autorisés à enseigner par toute la France par un décret de l'empereur Napoléon III, le 3 mars 1853. La mission des frères de Saint-Gabriel est principalement l’éducation chrétienne des enfants et des jeunes. Au XXème siècle les frères se sont établis dans une trentaine de pays. Aujourd’hui ils sont particulièrement présents en Asie (Inde…) et en Afrique.

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25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 21:34

 

25 avril(saint du jour)

Saint Marc l'évangéliste

Historique

L'auteur du deuxième évangile ne se nomme pas, mais certains ont cru pouvoir l'identifier au jeune homme qui s'enfuit lors de l'arrestation du Seigneur : Et un jeune homme le suivait, un drap jeté sur son corps nu. Et on l'arrête, mais lui, lâchant le drap s'enfuit tout nu (évangile selon saint Marc XIV 51-52).

D'après Jean le Presbytre dont le témoignage rapporté par Papias (évêque d'Hiérapolis en Phrygie vers le premier quart du II° siècle) est cité par Eusèbe de Césarée dans un passage de son Histoire ecclésiastique (Livre III, chapitre XXXIX, 15) :

Voici ce que le presbytre disait : Marc, qui avait été l'interprète de Pierre, écrivit exactement tout ce dont il se souvint, mais non dans l'ordre de ce que le Seigneur avait dit ou fait, car il n'avait pas entendu le Seigneur et n'avait pas été son disciple, mais bien plus tard, comme je disais, celui de Pierre. Celui-ci donnait son enseignement selon les besoins, sans se proposer de mettre en ordre les discours du Seigneur. De sorte que Marc ne fut pas en faute, ayant écrit certaines choses selon qu'il se les rappelait. Il ne se souciait que d'une chose : ne rien omettre de ce qu'il avait entendu, et ne rien rapporter que de véritable.

Saint Justin (vers 150) cite comme appartenant aux Mémoires de Pierre un trait qui ne se trouve que dans l'évangile selon saint Marc (Dialogue avec Tryphon, n°106) : surnom de Boarnergès (fils du tonnerre) donné à Jacques et Jean, fils de Zébédée (Saint Marc III 16-17).

Saint Irénée (vers 180) dit qu'après la mort de Pierre et de Paul, Marc, disciple et interprète de Pierre, nous transmit lui aussi par écrit ce qui avait été prêché par Pierre(Contra haereses, Livre III, chapitre I, 1).

Tertullien attribue à Pierre ce que Marc a écrit (Adversus Marcionem, Livre IV, chapitre V).

La tradition le désigne donc comme un disciple de Pierre et son interprète authentique (Saint Clément d'Alexandrie, Origène - selon ce que Pierre lui avait enseigné- et saint Jérôme - Marc, interprète de l'apôtre Pierre et premier évêque d'Alexandrie).

Les anciens l'ont identifié avec le Marc ou le Jean-Marc des Actes des Apôtres et des épîtres pauliniennes : son nom hébreux aurait été Jean et son surnom romain aurait été Marc (Marcus qui a donné le grec Marcos), usage que l'on rencontre pour Joseph, surnommé Justus (Actes des Apôtres I 23), ou pour Simon, surnommé Niger (Actes des Apôtres XIII 1) ; il serait le fils d'une Marie, probablement veuve, chez qui se réunissait la première communauté chrétienne de Jérusalem et chez qui saint Pierre se réfugia après sa délivrance de la prison (Actes des Apôtres XII 12) ; celui-ci accompagna Paul et Barnabé, son propre cousin (Colossiens IV 10) dans un premier voyage (Actes des Apôtres XII 25), puis se sépara deux à Pergé en Pamphylie (Actes des Apôtres XIII 13) avant de repartir pour Chypre avec Barnabé (Actes des Apôtres XV 39) ; on le retrouve à Rome près de saint Paul prisonnier (Billet à Philémon 24) qui le charge d'une mission en Asie Mineure (Colossiens IV 10) et finalement l'appelle auprès de lui (II Timothée IV 11) ; la mention à Rome de Marc comme le fils très cher de l'apôtre Pierre (I Pierre V 13) fait penser que Marc a été baptisé par Pierre et qu'il se mit à son service après la mort de Paul.

Eusèbe de Césarée rapporte que Marc aurait été le fondateur de l'Eglise d'Alexandrie : Pierre établit aussi les églises d'Egypte, avec celle d'Alexandrie, non pas en personne, mais par Marc, son disciple. Car lui-même pendant ce temps s'occupait de l'Italie et des nations environnantes ; il envoya don Marc, son disciple, destiné à devenir le docteur et le conquérant de l'Egypte (Histoire ecclésiastique Livre II, chapitre XVI), ce qu'un texte arménien fixe à la première année du règne de Claude (41) et saint Jérôme la troisième (43) ; Eusèbe dit qu'il établit son successeur, Anien, la huitième année du règne de Néron (62).

L'attribut de saint Marc est le lion parce que son évangile commence par la prédication de saint Jean-Baptiste dans le désert et que le lion est l'animal du désert (Evangile selon saint Marc I 12-13).

 

 

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20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 04:25

Paroles de Mère Teresa

 

 

  • Il y a toujours, puisque que je le dis, puisque je l'affirme, au bout du chagrin, une fenêtre ouverte. Mère Teresa

     

  • Dieu seul peut donner la foi mais tu peux donner ton témoignage. Mère Teresa

     

  • Dieu seul peut donner l'espérance mais tu peux prendre confiance à tes frères. Mère Teresa

     

  • Dieu donne la paix mais tu peux semer l'union. Mère Teresa

     

  • Nous ne sommes tous que ses instruments. Nous faisons notre petit peu, et nous passons. Mère Teresa

     

  • C'est lui qui nous as choisi(e)s le premier, et non pas nous qui l'avons choisi d'abord. Mère Teresa

     

  • Nous devons tous donner. Mère Teresa

     

  • Il faut s'accrocher à Jésus, se rassembler autour de Lui pour Le saisir et ne plus Le laisser s'échapper, pour rien au monde. Mère Teresa

     

  • Il faut tomber amoureux de Jésus. Mère Teresa

     

  • Nous cherchons à aimer la présence de Jésus sous les espèces du pain et du vin. Mère Teresa

     

  • Nous devons imiter sans peur ce qu'il a fait, c'est-à-dire nous exposer aux dangers et, avec Lui et pour Lui, accepter la mort. Mère Teresa

     

  • Que Jésus vous garde dans son cœur, car c'est le seul endroit où nous puissions être ensemble. Mère Teresa

     

  • Marie, à Cana, n'a pas fait autre chose que de veiller aux nécessités des autres et de les faire connaître à Jésus. Mère Teresa

     

  • Va et sers sans tarder, comme Marie. Mère Teresa

     

  • Tu as été envoyé(e), ce n'est pas toi qui as déterminé la direction de ta mission. Tu as été envoyée comme Jésus, qui nous a été envoyé à nous. Mère Teresa

     

  • Sois pour ta communauté une raison de se réjouir. Mère Teresa

     

  • Va auprès des pauvres avec zèle et amour. Mère Teresa

     

  • Il S'est fait pain de vie afin de rassasier notre faim d'amour. Mère Teresa

     

  • Pour pouvoir aimer, il faut que nous ayons la foi, la foi active, c'est l'amour, l'amour actif, c'est le service Mère Teresa

     

  • Ce n'est pas de sympathie ou de pitié qu'ont besoin les pauvres, mais d'amour. Et de compassion. Mère Teresa

     

  • Ayez un sourire pour votre prochain, donnez-lui du temps. Mère Teresa

     

  • Comment pouvons-nous aimer les pauvres si nous n'aimons pas d'abord nos propres enfants? L'amour commence chez soi. Mère Teresa

     

  • Quoi que tu fasses, quand j'avais faim tu m'as donné à manger, quand j'avais soif tu m'as donné à boire. Mère Teresa

     

  • Quand j'étais fatigué, tu m'as aidé à trouver du repos, quand j'avais peur tu m'as ôté toute mon angoisse. Mère Teresa

     

  • Quand j'étais petit tu mas appris à lire, quand j'étais seul tu m'as donné de l'amour. Mère Teresa

     

  • Quand j'étais en prison tu es venu dans ma cellule, quand j'étais à l'hôpital tu m'as soigné. Mère Teresa

     

  • Quand j'étais dans un pays étranger tu m'as accueilli, quand j'étais au chômage tu m'as cherché du travail. Mère Teresa

     

  • Quand j'étais vieux tu m'as offert ton sourire, quand j'étais sans repos tu m'as patiemment écouté. Mère Teresa

     

  • Quand j'étais blessé dans la bataille tu as pansé mes plaies, quand j'aspirais à la bonté tu m'as tenu la main. Mère Teresa

     

  • Quand on se moquait de moi tu étais à mes côtés, quand j'étais heureux tu as partagé ma joie. Mère Teresa

     

  • Quand j'étais sans abri tu m'as ouvert ta porte, quand j'étais nu tu as donné ton vêtement. Mère Teresa

     

  • Nous allons essayer de parler davantage à Dieu et avec Dieu et moins aux hommes et avec les hommes. Mère Teresa

     

  • Allons proclamer la paix comme le Christ l'a fait. Mère Teresa

     

  • Que personne ne vienne à vous sans repartir meilleur et plus joyeux. Mère Teresa

     

  • Il y a des maladies qui ne guérissent pas avec de l'argent, mais avec de l'amour. Mère Teresa

     

  • Les pauvres veulent être traités en fils de Dieu et non en esclaves. Mère Teresa

     

  • Nous devons aimer les pauvres parce que Jésus se cache sous l'apparence des pauvres. Mère Teresa

     

  • Notre mission est une mission d'amour et de bonté. Mère Teresa

     

  • Notre devoir consiste à mettre pauvres et riches en présence les uns les autres, à être leur point de rencontre en quelque sorte. Mère Teresa

     

  • Ne laissez rien vous troubler au point de vous faire oublier la joie du Christ ressuscité. Mère Teresa

     

  • N'ayez pas peur d'aimer jusqu'à la souffrance. Mère Teresa

     

  • Ne donnez pas seulement vos soins, mais aussi votre cœur. Mère Teresa

     

  • Pour qu'il soit authentique, l'amour doit coûter. Il en a coûté à Jésus de nous aimer. Mère Teresa

     

  • Nous autres, nous avons besoin ni bombes ni d'armes, car notre seule arme, c'est l'amour. Mère Teresa

     

  • Si véritablement nous désirons aimer, nous savons bien que nous devons apprendre à pardonner. Mère Teresa

     

  • Plus nous recevons dans le silence de la prière, plus nous donnerons dans la vie active. Mère Teresa

     

  • Soyez l'expression vivante de la bonté de Dieu. Mère Teresa

     

  • Des mots aimables peuvent être courts et faciles à dire, Mais leur écho est vraiment sans fin. Mère Teresa

     

  • Ne cherchez donc pas Jésus en dehors de vous, mais avant tout en vous-même, dans la Sainte communion. Mère Teresa

     

  • Nous ne saurons jamais tout le bien qu'un simple sourire peut être capable de faire. Mère Teresa

     

  • La perte d'une certaine pudeur comme la perte de la pureté sont les causes profondes de la décadence du monde. Mère Teresa

     

  • Ne laissez personne venir à vous et repartir sans être plus heureux. Mère Teresa

     

  • Le manque d'amour est la plus grande pauvreté. Mère Teresa

     

  • Si tu juges les gens tu n'as pas le temps de les aimer. Mère Teresa

     

  • Ce qui compte ce n'est pas ce que l'on donne, mais l'amour avec lequel on donne. Mère Teresa

     

  • La plus grande souffrance est de se sentir seul, sans amour, abandonné de tous. Mère Teresa

     

  • La solitude et le sentiment de n'être pas désiré sont les plus grandes pauvretés. Mère Teresa

     

  • Que pouvez-vous faire pour promouvoir la paix dans le monde? Rentrez chez vous et aimer votre famille! Mère Teresa

     

  • La vie est un défi à relever, un bonheur à mériter, une aventure à tenter. Mère Teresa

     

  • Donne tes mains pour servir et ton cœur pour aimer. Mère Teresa

     

  • Ce dont nous avons besoin est d'aimer sans nous épuiser. Mère Teresa

     

  • Si vous ne pouvez pas nourrir cent personnes, nourrissez-en au moins une. Mère Teresa

     

  • Insistons sur le développement de l'amour, la gentillesse, la compréhension, La paix. Le reste nous sera offert. Mère Teresa

     

  • La joie est prière, la joie est force, la joie est amour. Mère Teresa

     

  • Dieu aime celui qui donne avec joie. Mère Teresa

     

  • La meilleure manière de montrer notre gratitude envers Dieu et envers les gens, c'est d'accepter tout avec joie. Mère Teresa

     

  • Ne laissez jamais le chagrin vous noyer Au point d'en oublier la joie du Christ Ressuscité Mère Teresa

     

  • Être heureux avec Jésus maintenant cela veut dire: Aimer comme Jésus aime. Mère Teresa

     

  • Être heureux avec Jésus maintenant cela veut dire: Aider comme Jésus aide. Mère Teresa

     

  • Être heureux avec Jésus maintenant cela veut dire: Donner comme Jésus donne. Mère Teresa

     

  • Être heureux avec Jésus maintenant cela veut dire: Servir comme Jésus sert. Mère Teresa

     

  • Être heureux avec Jésus maintenant cela veut dire: Être avec lui vingt-quatre heures par jour. Mère Teresa

     

  • Un cœur joyeux est le résultat normal D'un cœur brûlant d'amour. Mère Teresa

     

  • La joie: c'est le don de l'Esprit, une participation à la joie de Jésus vivant dans l'âme. Mère Teresa

     

  • Si tu crois que ce qui rassemble les hommes est plus important Que ce qui divise, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Si tu crois qu'être différents est une richesse et non un danger, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Si, pour toi, l'étranger est un frère qui t'est proposé, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Si tu peux te réjouir de la joie de ton voisin, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Si l'injustice qui frappe les autres te révolte autant Que celle que tu subis, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Si tu estimes que c'est à toi de faire le premier pas, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Si tu partages son pain et que tu sais joindre Un morceau de ton cœur, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Si tu sais accepter qu'un autre te rende service, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Si la colère est pour toi une faiblesse et non Une preuve de force, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Si tu refuses de battre la coulpe sur La poitrine des autres, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Si tu crois qu'un pardon va plus loin qu'une vengeance, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Si tu préfères être lésé que de faire du tord à quelqu'un, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Si tu refuses qu'après toi ce soit le déluge, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Si tu te ranges du côté du pauvre et de L'opprimé sans te prendre pour un héros, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Si tu crois que l'amour est la seule force de dissuasion, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Si tu crois que la paix est possible, ALORS LA PAIX VIENDRA. Mère Teresa

     

  • Dieu seul peut donner la paix, mais tu peux semer l'union. Mère Teresa

     

  • Ma vie est dédiée au Christ. C'est par lui que je respire et que je vois. Mère Teresa

     

  • Sers Jésus sous l'apparence du pauvre. Mère Teresa

     

  • Aujourd'hui c'est à la mode de parler des pauvres. Connaître, aimer et servir les pauvres sont des choses Bien différentes. Mère Teresa

     

  • Commence en transformant tout ce que tu fais en Quelque chose de beau pour Dieu. Mère Teresa

     

  • Nous avons besoin de prier! Sans la force de la prière, notre vie est insupportable Mère Teresa

     

  • Prier, c'est voir le monde avec les yeux de Dieu .Mère Teresa

     

  • Chez nous, il y a toujours un lit prêt pour un Enfant de plus. Mère Teresa

     

  • Dieu est l'ami du silence. Le silence nous donne une vision nouvelle De chaque chose. Mère Teresa

     

  • Prier, c'est se retrouver soi-même en écoutant Dieu qui parle. Mère Teresa

     

  • N'oublions pas que l'amour commence dans la famille. Mère Teresa

     

  • La providence nous vient toujours en aide Mère Teresa

     

  • Nous sommes de petits instruments; mais entre les mains De Dieu, tant de petits instruments peuvent accomplir Des miracles! Mère Teresa

     

  • Parlons peu. Prenons le balai et commençons à nettoyer La maison du pauvre. Mère Teresa

     

  • Je suis le crayon de Dieu. Un petit bout de crayon avec lequel il écrit ce qu'il veut. Mère Teresa

     

  • Nous sommes tous le Corps du Christ. Nous sommes tous le Christ sous l'apparence D'êtres humains qui ont besoin d'aide. Mère Teresa

     

  • Les pauvres sont le Corps du Christ qui souffre: Ils sont le Christ. Mère Teresa

     

  • Sans Dieu, nous sommes des être humains qui ne Peuvent donner que de la douleur et de la souffrance. Mère Teresa

     

  • Mettons nos mains, nos yeux, notre cœur à la Disposition du Christ, pour qu'il puisse agir À travers nous. Mère Teresa

     

  • Quelque soit notre croyance, nous devons apprendre à pardonner, Si nous voulons aimer véritablement! Mère Teresa

     

  • Donne-moi ô Dieu, le don le plus béni que je connaisse Celui d'avoir le cœur rempli de l'amour de Dieu. Mère Teresa

     

  • Seigneur, donne-moi cette clairvoyante, et mon travail ne sera jamais lassant. Mère Teresa

     

  • Conseil de Mère Teresa pour notre vie chrétienne: De parler le moins possible de soi-même.

     

  • Conseil de Mère Teresa pour notre vie chrétienne: s'occuper de son propre travail.

     

  • Conseil de Mère Teresa pour notre vie chrétienne: Éviter la curiosité.

     

  • Conseil de Mère Teresa pour notre vie chrétienne: Ne pas se mêler des affaires des autres.

     

  • Conseil de mère Teresa pour notre vie chrétienne: Accueillir la contradiction avec humour.

     

  • Conseil de Mère Teresa pour notre vie chrétienne: Ne pas s'arrêter aux défauts des autres.

     

  • Conseil de Mère Teresa pour notre vie chrétienne: Céder face à la volonté des autres.

     

  • Conseil de Mère Teresa pour notre vie chrétienne: Accepter injures et insultes.

     

  • Conseil de Mère Teresa pour notre vie chrétienne: Accepter de se voir mis dans l'ombre, oublié, ou méprisé.

     

  • Conseil de Mère Teresa pour notre vie chrétienne: Rester poli et délicat même si quelqu'un nous provoque.

     

  • Conseil de Mère Teresa pour notre vie chrétienne: Ne pas chercher à être admiré ou aimé.

     

  • Conseil de Mère Teresa pour notre vie chrétienne: Ne pas se retrancher derrière sa propre dignité.

     

  • Conseil de Mère Teresa pour notre vie chrétienne: Ne pas essayer d'avoir le dernier mot dans une discussion, même si on a raison.

     

  • Conseil de Mère Teresa pour notre vie chrétienne: Choisir toujours le plus difficile.

     

  • Ce n'est pas la grandeur des choses que vous faites qui importe, mais la qualité d'amour qu vous mettez. Mère Teresa

     

  • La prière engendre la foi, la foi engendre l'amour, et l'amour engendre le service des pauvres. Mère Teresa

     

  • Le silence nous apprendra beaucoup. Il nous enseignera à parler au Christ, et à parler avec joie à nos frères et sœurs. Mère Teresa

     

  • Nous pouvons et devons faire de notre travail une prière. Jamais nous ne pourrons remplacer l'oraison par le travail. Mère Teresa

     

  • Le silence est quelque chose de merveilleux. Il est la défense de notre vie intérieure. Mère Teresa

     

  • Ceux qui ont le don de joie atteignent les sommets de la perfection Mère Teresa

     

  • Si nous prions, nous croyons; si nous croyons, nous aimons; si nous aimons, nous servons. Mère Teresa

     

  • Le silence aide à mieux prier. Le silence nous donne la possibilité de prier davantage. Mère Teresa

     

  • Souvent, il suffit d'une parole, d'un regard, d'un geste pour que le bonheur comble le cœur de celui que nous aimons. Mère Teresa

     

  • L'amour commence par le foyer. Si la famille vit dans l'amour, ses membres répandent l'amour atour d'eux. Mère Teresa

     

  • Si vous êtes humbles, mes filles, je n'aurai pas la moindre crainte pour vous. Mère Teresa

     

  • Un cœur joyeux sait très bien se protéger de la malpropreté que le diable tente de semer en nos cœurs. Mère Teresa

     

  • La vie est un don que Dieu nous a fait. Cette vie est présente même dans un être qui n'est pas encore né. Mère Teresa

     

  • N'oublions pas que c'est dans le silence du cœur que Dieu parle, et nous, nous parlons de l'abondance de nos cœurs. Mère Teresa

     

  • Avec Dieu, il n'y a pas de “mais” qui vaille. Mère Teresa

     

  • Si nous étions capables de voir le Christ dans notre prochain, croyez-vous qu'il y aurait besoin d'armes et de généraux? Mère Teresa

     

  • Avoir confiance en Dieu signifie avoir confiance en sa toute-puissance, en sa sagesse et en son amour infinis. Mère Teresa

     

  • Le témoignage de notre vie est, pour les pécheurs, l'invitation la plus convaincante à se convertir. Mère Teresa

     

  • On a besoin de silence, pour être seul avec Dieu, pour lui parler, pour l'écouter Pour garder Sa Parole Profondément dans notre cœur. Mère Teresa

     

  • Prends le temps d'être seul avec Jésus, et Jésus deviendra de plus en plus Tout dans ta vie. Mère Teresa

     

  • Crois que Jésus, et Jésus Seul, EST VIE. Mère Teresa

     

  • Jésus dans mon cœur, je crois en la Tendresse de ton Amour pour moi. Je T'aime. Mère Teresa

     

  • Contempler c'est simplement réaliser la Présence constante de Dieu et la Tendresse de son Amour pour nous. Mère Teresa

     

  • Le silence est la racine de notre union avec Dieu et avec les autres. Mère Teresa

     

  • Dans le silence du cœur Dieu parle. Mère Teresa

     

  • Ce qui est important, c'est l'intensité d'amour que vous mettez dans le plus petit geste. Mère Teresa

     

  • Chaque personne est pour moi le Christ, et comme Jésus est unique, cette personne est alors pour moi unique au monde. Mère Teresa

     

  • Tout geste d'amour, si petit qu'il soit, à l'égard du pauvre et de l'indésirable, est important pour Jésus. Mère Teresa

     

  • La foi en actes est l'amour, et l'amour en actes est service. Mère Teresa

     

  • S'il est une chose que nous pouvons apprendre de la Vierge Marie, c'est bien sa tendresse. Mère Teresa

     

  • Bien des gens acceptent de faire de grandes choses. Peu se contentent de faire de petites choses au quotidien. Mère Teresa

     

  • On ne peut pas faire de grandes choses — rien que des petites avec un immense amour. Mère Teresa

     

  • Pour ce qui est de l'argent, il viendra bien: si nous cherchons d'abord le royaume de Dieu, le reste sera donné par surcroît. Mère Teresa

     

  • Afin qu'une lampe continue de brûler, il faut y ajouter de l'huile. Mère Teresa

     

  • C'est en revêtant le Christ que l'on peut le plus apporter de charité aux autres. Mère Teresa

     


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  • : Le blog de foyerhospitalite.over-blog.com
  • : Foyer d'hospitalité: maison de priere et d 'accueil.«Ne rien vouloir et ne rien chercher d'autre, sinon, en toutes choses et par tous les moyens, une plus grande louange et gloire de Dieu Notre Seigneur» Ma vie :aimer accueillir et servir . vieillir dans l'amour voilà ma joie.
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«Ma maison ... de prière» Marc 11,17 «Ne rien vouloir et ne rien chercher d'autre, sinon, en toutes choses et par tous les moyens, une plus grande louange et gloire de Dieu» Saint Ignace de Loyola
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